Je ne vous dis pas bonjour, nous sommes le soir.
Alors moi, je ne lis pas. Mais je suis acteur de ma propre vie, vous avez du me voir pas mal de fois dans la boite à images, la tv comme disent les gens. Il y a peu, j’ai participé à danse avec les stars, lorsque lorie pleure, grâce à la touche "arrêt sur image"l’on peut me distinguer dans le public au troisième rang à gauche, avec un pull hello kitty for men. On me voit aussi dans « Je vais bien ne t’en fais pas » à 1h25 minutes et trente secondes, assis dans le fond d’un bar tabac. Le fait que je sois de dos ne met malheureusement pas en valeur mon physique presque parfait. Je suis aussi passé sur ARTE dans « qu’est ce que la schizophrénie au vingt et unième siècle », un reportage dans lequel, j’étais le cameraman et Arnold Schwarzenegger. Je suis musclé, en effet, je porte régulièrement six litres d’eau en bouteilles. Je pressens déjà les milliers de questions sur ma physionomie !
Si non j’écris beaucoup depuis mon plus jeune âge ! J’ai commencé à écrire en CP avec une nouvelle courte de deux mots « les écureuilles » mais je n’ai pas été publié à cause de soit disant fautes d’orthographe. Ensuite, au collège, j’ai écris quelques contrôles. Rien de très littéraire, surtout en mathématiques. C’est au lycée que j’ai écris mes plus beaux essais ; et notamment au baccalauréat, un essai philosophique intitulé « mettez moi un dix si vous êtes humain ». Enfin, j’ai progressé et j’ai commencé à écrire assez longuement en partiels. Ma plus belle réussite est surement mon écrit sur la maladie de la pierre, un texte poignant sur les modes d’érosion des roches utilisées pour les monuments (Mon professeur s’exclamera : « Je ne sais pas si c’est pareil dans les autres pays, mais sachez monsieur, en France les châteaux de sables ne sont pas considérés comme des monuments ! »).
Dernièrement, je dus faire face à une grande frustration puisque je n’ai pas pu finir mon grand projet de mémoire ne l’ayant pas encore commencé.
Voilà mon autobiographie, si quelques uns ou unes veulent des autographes qu’ils s’autorisent à me les demander.